Une entreprise cyber-sécurisée en 2025 : 7 conseils pour protéger votre entreprise contre les attaques

Dans cet article, vous découvrirez pourquoi les entreprises sont de plus en plus nombreuses à être victimes de cyberattaques et comment éviter d’être les prochaines. Nous identifierons les risques les plus importants et nous vous donnerons 7 conseils prêts à être mis en œuvre pour assurer la cybersécurité de votre organisation, aujourd’hui et à l’avenir.

Écrit par Jill - Écrit sur: 19 mai 2025

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Quel est, selon vous, le risque que votre entreprise subisse une cyberattaque ? Il est peut-être plus élevé que vous ne le pensez. En France par exemple, en 2024 l’ANSSI a traité 4.386 intrusions, soit 15 % de plus qu’en 2023. La digitalisation du monde des affaires s’accélère et, avec elle, les risques. Les cybercriminels perfectionnent sans cesse leurs techniques pour voler ou exploiter les données. Résultat : le nombre de cyberattaques dans le monde atteint des niveaux records.

Heureusement, les entreprises ne sont pas seules. Plans de relance, chèques cybersécurité, dispositifs régionaux : les pouvoirs publics offrent des aides, tandis que les organisations professionnelles et les outils numériques constituent une première ligne de défense. Que vous dirigiez une PME ou un grand groupe, la cybersécurité n’est plus une option mais une nécessité.

Cet article explique comment opèrent les cybercriminels, quels risques vous courez et, surtout, comment y faire face. Découvrez sept conseils concrets pour mieux protéger votre organisation.


Des statistiques sur les cyberattaques

  • Au cours du premier trimestre 2025, une organisation moyenne dans le monde a subi environ 1 925 cyberattaques par semaine, soit une augmentation de 47 % par rapport au même trimestre de l’année précédente. (Check Point Research)

  • Le secteur le plus touché reste, pour la cinquième année consécutive, celui de l’éducation (4 484 attaques hebdomadaires), suivi des administrations (2 678) et des télécommunications (2 664). (Check Point Research)

  • L’Internet Crime Report 2024 du FBI fait état de pertes de plus de 16 milliards de dollars dues à la cybercriminalité, soit une augmentation de 33 % par rapport à 2023. (FBI)

  • Le coût global de la cybercriminalité est estimé à 10,5 billions de dollars par an d’ici 2025. (Statista)

  • Le coût moyen d’une violation de données s’élevait à 4,88 millions de dollars en 2024, soit un bond de 10 % en 12 mois. (IBM)

  • Le marché de l’assurance voit également le risque augmenter, avec des revenus mondiaux provenant des primes d’assurance cybernétique qui devraient doubler, passant de 14 milliards de dollars en 2023 à 29 milliards de dollars en 2027. (Munich RE)


Gros plan de mains tapant un code vert sur un ordinateur portable dans une pièce sombre, symbolisant une cyberattaque en cours.


Qu’est-ce que la cybersécurité ?

Vous connaissez sans doute le scénario : vous réutilisez le même mot de passe pour plusieurs comptes, vous ouvrez à la hâte une pièce jointe sans y réfléchir, ou vous laissez la liste des visiteurs affichée sur un ordinateur non sécurisé pendant un événement chargé. De petites erreurs qui peuvent avoir de lourdes conséquences : il suffit parfois d’un seul clic pour qu’un pirate s’introduise dans votre réseau d’entreprise.

La cybersécurité consiste à prendre des mesures pour prévenir ces risques. C’est un peu comme verrouiller la porte en partant : vous activez l’alarme, fermez fenêtres et portes et ne laissez rien de valeur sans surveillance. Le monde numérique fonctionne de la même façon, sauf qu’au lieu de serrures et d’alarmes physiques, vous utilisez des mots de passe, des pare-feu et le chiffrement des données.

Concrètement, la cybersécurité signifie par exemple :

  • veiller à ce que seuls les employés autorisés aient accès aux données sensibles de l’entreprise ;
  • s’assurer que les informations des visiteurs et des clients sont chiffrées et correctement protégées ;
  • former les collaborateurs à reconnaître les e-mails suspects ;
  • empêcher que vos systèmes soient facilement infectés par des virus ou des rançongiciels ;
  • bloquer la connexion d’utilisateurs non autorisés au réseau de l’entreprise.

En bref, la cybersécurité englobe toutes les actions visant à protéger votre entreprise contre les menaces numériques.


Pourquoi la cybersécurité est-elle essentielle en 2025 ?

Jamais les entreprises n’ont été aussi connectées numériquement, et pourtant aussi vulnérables. Ces dernières années, le nombre de cyberattaques a explosé dans le monde entier. Les pirates gagnent en professionnalisme et leurs méthodes se perfectionnent. Des campagnes de rançongiciels à grande échelle aux courriels de hameçonnage, en passant par les attaques automatisées exploitant des failles logicielles, la menace numérique grandit chaque jour.

Les conséquences d’une cyberattaque peuvent être lourdes. Une violation de données peut exposer des informations sensibles sur vos clients ou votre entreprise, entraînant dommages à la réputation et amendes. Parfois, l’attaque conduit même à l’arrêt temporaire de l’activité si les systèmes sont pris en otage. Les pertes financières peuvent aller de quelques milliers à plusieurs millions d’euros : frais de remise en état, manque à gagner, réclamations de partenaires ou de clients. La confiance de la clientèle, elle, peut être gravement entamée et reste souvent la plus difficile à regagner.

La législation en matière de sécurité numérique se renforce, à juste titre. Les pouvoirs publics imposent des exigences de plus en plus strictes quant à la gestion des données par les entreprises. Citons notamment le RGPD , qui prescrit la façon de protéger et de signaler les données personnelles en cas de fuite, ou encore la nouvelle directive NIS2 , qui impose dès 2024 des obligations supplémentaires à de nombreux secteurs. Le non-respect de ces réglementations expose à de lourdes amendes et nuit gravement à l’image de marque.

Autrement dit, la cybersécurité n’est plus un luxe : c’est une nécessité absolue pour protéger votre entreprise, vos clients et votre réputation.


Une serrure à combinaison noire est placée sur un ordinateur portable fermé, symbolisant une sécurité numérique et physique forte.


Comment les entreprises sont-elles piratées ?

Les cybercriminels utilisent des techniques toujours plus sophistiquées pour infiltrer les organisations. Malheureusement, il suffit parfois d’un employé inattentif ou d’une petite erreur humaine. Voici les types d’attaques les plus courants dont les entreprises doivent se méfier aujourd’hui :


Phishing

Il s’agit de courriels ou de sites web usurpés qui semblent provenir d’une organisation connue (banque, collègue, fournisseur, etc.). Les employés se laissent convaincre de cliquer sur un lien, de se connecter ou d’ouvrir une pièce jointe. En un seul clic, les pirates peuvent accéder à des informations confidentielles ou à des identifiants de connexion.


Ransomware

Dans une attaque par rançongiciel, les cybercriminels utilisent un logiciel malveillant pour prendre le contrôle de vos systèmes. Ils retiennent ensuite vos ordinateurs ou fichiers critiques en otage : vous ne (re)gagnerez l’accès qu’après paiement d’une rançon, et rien ne garantit qu’ils tiendront parole. Le ransomware peut paralyser l’entreprise entière et causer d’énormes pertes financières.


Réseaux non sécurisés

Si vous utilisez un Wi-Fi non sécurisé ou laissez votre réseau d’entreprise ouvert, vous offrez un boulevard aux cybercriminels. Ils peuvent alors pénétrer facilement dans vos systèmes pour voler des données ou installer un malware, souvent sans que vous ne vous en rendiez compte.


Mots de passe faibles

Un mot de passe facile à deviner, comme « Bienvenue123 » ou « Entreprise2025 », est un jeu d’enfant pour les pirates. La réutilisation des mots de passe est tout aussi risquée : lorsqu’un tiers subit une fuite de données, les hackers testeront automatiquement les mêmes identifiants chez vous.


Attaques automatisées

Certains cybercriminels recourent à des bots qui scrutent en continu Internet à la recherche de failles dans des logiciels obsolètes ou mal sécurisés. Dès qu’un bot détecte une vulnérabilité, il tente aussitôt de l’exploiter pour accéder à votre réseau ou déposer un malware. Les entreprises ne s’en rendent souvent compte que lorsqu’il est trop tard.


Attaques DDoS

Lors d’une attaque DDoS (« Distributed Denial of Service »), les attaquants envoient des volumes massifs de trafic vers votre site web ou votre plateforme via des milliers d’ordinateurs piratés. Le service est saturé et devient inaccessible pour vos clients. Les criminels visent ainsi à perturber vos activités, à extorquer une rançon ou simplement à saboter votre entreprise.


7 conseils essentiels pour la cybersécurité


Conseil n° 1 : Utilisez des mots de passe forts et une authentification multifactorielle

Il n’est pas nouveau de savoir qu’il faut utiliser des mots de passe forts et les changer régulièrement. Mais franchement, qui parvient toujours à le faire ? Tout le monde connaît les règles, pourtant il reste difficile et fastidieux de tout gérer. En un rien de temps, vous vous retrouvez à utiliser le nom de votre animal de compagnie, votre date de naissance ou tout simplement « 12345 ». Jusqu’à ce qu’un problème survienne.

Heureusement, il existe des outils intelligents qui peuvent faciliter et sécuriser la mémorisation de dizaines de mots de passe complexes. Un gestionnaire de mots de passe stocke vos mots de passe sous forme cryptée, génère automatiquement des mots de passe forts et uniques, et les remplit si nécessaire. Combiné à l’authentification multifactorielle (une question ou un code de vérification supplémentaire sur votre smartphone), il rendra la tâche très difficile aux pirates.

Qu’est-ce qu’un bon mot de passe ?

  • Utilisez un mot de passe unique pour chaque application ou site web. De cette façon, une violation de données dans un service ne peut pas immédiatement conduire à une intrusion ailleurs.
  • Un mot de passe solide comporte au moins 12 caractères et un mélange de lettres majuscules et minuscules, de chiffres et de symboles.
  • Évitez les mots de passe simples tels que « Bienvenue2025 », les chaînes de chiffres ou les informations personnelles telles que les noms, les dates de naissance ou le nom de votre entreprise.
  • Utilisez un gestionnaire de mots de passe, tel que 1Password ou LastPass. Ainsi, vous n’aurez pas à vous souvenir de tout.
  • Activez l’authentification multifactorielle (MFA) dans la mesure du possible. Il s’agit d’une sécurité supplémentaire sous la forme d’un code SMS ou d’une approbation via votre smartphone. De cette manière, les pirates ne peuvent pas accéder à vos comptes même s’ils ont saisi votre mot de passe.

Papier sur un clavier indiquant « Mon mot de passe : » avec le mot de passe faible « 123456 » barré et remplacé par le mot de passe fort « edWc!;8pte ».


Conseil n° 2 : Maintenez les logiciels, les systèmes et les appareils à jour

En mai 2017, le monde a été frappé par le tristement célèbre ransomware WannaCry. Cette attaque a exploité une vulnérabilité dans Microsoft Windows, pour laquelle une mise à jour avait été publiée des mois auparavant. Malheureusement, de nombreuses organisations n’avaient pas encore installé la mise à jour. Cela a permis aux pirates d’infecter rapidement des centaines de milliers d’ordinateurs dans plus de 150 pays. De grandes entreprises, des hôpitaux et même des gouvernements n’ont pas pu accéder à leurs données. Seuls ceux qui avaient mis à jour leur sécurité à temps étaient en sécurité.

Dans ce cas, le simple fait de ne pas avoir effectué les mises à jour a rendu des milliers d’organisations vulnérables, et les pirates en ont profité. Les cybercriminels exploitent souvent les vulnérabilités des logiciels obsolètes. Assurez-vous que tous les programmes, systèmes d’exploitation et applications de votre ordinateur, de votre téléphone et de vos autres appareils disposent des dernières mises à jour de sécurité.

Conseils utiles pour une bonne politique de mise à jour

  • Activez les mises à jour automatiques lorsque vous le pouvez, afin de ne pas avoir à vous en préoccuper.
  • Vérifiez chaque semaine que les logiciels importants, tels que votre programme de comptabilité ou votre système d’enregistrement des visiteurs, sont toujours à jour.
  • Veillez à ce que seuls les employés autorisés puissent installer ou mettre à jour des logiciels afin d’éviter les programmes indésirables ou non sécurisés.
  • Mettez également à jour les appareils « oubliés », tels que les imprimantes, les appareils réseau, les tablettes et les smartphones. Ils présentent souvent des vulnérabilités.
  • Faites supprimer ou remplacer les anciens logiciels non pris en charge. Les programmes obsolètes ne reçoivent plus de mises à jour et constituent une cible facile pour les pirates informatiques.

Conseil n° 3 : Formez vos employés à la cybersécurité

Quelles que soient les bonnes intentions, en fin de compte, les personnes sont le maillon faible en matière de cybersécurité. Investissez donc dans la sensibilisation. Apprenez à vos employés à reconnaître les courriels suspects et les tentatives d’hameçonnage. Discutez ensemble de la manière de traiter en toute sécurité les données de l’entreprise, qu’elles soient numériques ou sur papier. Organisez régulièrement de courtes sessions de formation ou lancez des campagnes de sensibilisation, par exemple en organisant un quiz sur la cybersécurité ou en publiant un conseil mensuel dans le bulletin d’information.

Comment reconnaître un courriel suspect

  • Vérifiez l’adresse électronique de l’expéditeur et recherchez des anomalies mineures, telles que des chiffres, des lettres ou des fautes d’orthographe supplémentaires.
  • Méfiez-vous des demandes inattendues ou urgentes d’argent, de données ou de mots de passe.
  • Vérifiez que le courrier ne contient pas de fautes de langue ou de formulations étranges.
  • Soyez prudent avec les pièces jointes ou les liens. Ne cliquez que si vous avez confiance en l’expéditeur.
  • Vérifiez si la réception de ce courrier est logique. Si vous n’avez pas confiance, contactez l’expéditeur à un numéro de téléphone connu (et non à un numéro de téléphone figurant dans le courrier).
  • Recherchez les termes menaçants : « Votre compte sera bloqué si vous ne le faites pas immédiatement… ».
  • L’adresse personnelle est souvent absente des courriels d’hameçonnage : « Cher client » au lieu de votre nom.

Conseil n° 4 : Limitez et gérez les droits d’accès

Tout le monde n’a pas besoin d’accéder à tous les fichiers ou systèmes. Un stagiaire, par exemple, n’a pas besoin d’accéder aux rapports financiers, et une réceptionniste n’a pas besoin d’accéder à l’ensemble du système de gestion de la relation client. Veillez à ce que seuls les employés autorisés aient accès aux données sensibles (de l’entreprise). Pensez aux données des clients, aux informations financières ou aux dossiers des visiteurs. Ajustez les autorisations lorsque quelqu’un change de poste ou quitte l’organisation, et vérifiez périodiquement qui a accès à quoi. En limitant les droits d’accès, vous évitez que des informations sensibles sur les clients ne se retrouvent dans la rue.


Conseil n° 5 : Effectuez des sauvegardes régulières et testez le processus de récupération

Établissez une stratégie de sauvegarde claire. Sauvegardez automatiquement les données et les systèmes importants de l’entreprise - idéalement tous les jours ou toutes les semaines - et stockez également les sauvegardes hors ligne ou dans un emplacement distant sécurisé. Testez régulièrement votre capacité à restaurer les fichiers. Vous éviterez ainsi de découvrir, en cas de crise, que votre sauvegarde ne fonctionne pas.


Conseil n° 6 : Numérisez l’enregistrement des visiteurs

Avec l’enregistrement numérique des visiteurs, vous évitez d’avoir des listes de visiteurs sur papier qui peuvent contenir des informations sensibles. Les systèmes modernes stockent les données des visiteurs en toute sécurité et sous forme cryptée, de sorte que les personnes indésirables ne peuvent pas y accéder et que vous êtes instantanément en conformité avec les lois sur la protection des données.

Vous pouvez également contrôler exactement qui est entré dans le bâtiment et quand, ce qui vous rend moins vulnérable aux erreurs humaines ou aux abus.

Comment l’ouverture de session numérique des visiteurs améliore votre cybersécurité

  • Il n’y a plus de listes papier qui traînent. Cela évite que les informations relatives aux visiteurs ne soient accidentellement laissées sur le comptoir ou jetées à la poubelle.
  • Les données sont stockées en toute sécurité. Les systèmes numériques stockent les informations relatives aux visiteurs de manière cryptée et protégée, ce qui réduit considérablement le risque de vol ou de consultation non autorisée.
  • Seul le personnel autorisé peut consulter ou modifier les informations relatives aux visiteurs. Vous décidez qui a accès aux informations sensibles sur les visiteurs.
  • La gestion numérique des visiteurs facilite la mise en conformité avec le GDPR. Vous disposez toujours d’une vue actualisée de qui était présent à quel moment, et vous pouvez facilement supprimer les données si la loi l’exige.
  • En cas d’incident de sécurité, vous pouvez identifier rapidement et précisément les personnes présentes sans avoir à chercher dans les dossiers papier.

Vous souhaitez en savoir plus sur la manière dont l’enregistrement numérique des visiteurs peut renforcer la sécurité de votre entreprise ? [Découvrez tous les détails dans cet article (https://vizito.eu/fr/blog/comment-les-systemes-de-gestion-des-visiteurs-peuvent-ameliorer-la-securite-dans-votre-entreprise/). L’intégration de votre système de gestion des visiteurs à un système de contrôle d’accès assure une sécurité optimale pour votre organisation.


Conseil n° 7 : Établissez un plan de réponse aux incidents

Sachez quoi faire si les choses tournent mal. Disposez d’une feuille de route claire lorsque vous soupçonnez un cyberincident : qui devez-vous contacter en premier lieu, quels systèmes doivent être arrêtés et qui doit informer les clients et les partenaires ? Déterminez les parties responsables et mettez ce plan en pratique régulièrement en organisant un « exercice d’incendie cybernétique », par exemple.

La cybersécurité n’est pas une action ponctuelle, mais un processus. En appliquant ces conseils de manière structurée, vous aiderez votre organisation à rester sûre et résiliente à l’ère numérique.


Liste de contrôle pratique : êtes-vous cybersécurisé ?

  • Disposez-vous de mots de passe uniques et robustes pour tous les comptes et utilisez-vous l’authentification multifactorielle dans la mesure du possible ?
  • Tous les ordinateurs, applications et systèmes sont-ils automatiquement mis à jour avec les dernières mises à jour en temps opportun ?
  • Vos employés reconnaissent-ils les courriels d’hameçonnage et savent-ils comment agir en cas de courriel suspect ?
  • Seul le personnel compétent a-t-il accès aux informations sensibles, telles que les données des clients et les dossiers financiers ?
  • Sauvegardez-vous régulièrement les données importantes et vérifiez-vous que ces sauvegardes fonctionnent correctement ?
  • Utilisez-vous un registre des visiteurs numérique et sécurisé plutôt qu’une liste sur papier ?
  • Existe-t-il un plan d’intervention en cas d’incident ? Chacun sait-il ce qu’il doit faire en cas de cyberincident ?
  • Les anciens comptes et droits d’accès sont-ils révoqués immédiatement en cas de départ ou de changement de poste ?
  • Chacun reçoit-il régulièrement une brève mise à jour ou une formation sur la cybersécurité ?
  • Les équipements de réseau, les imprimantes et autres dispositifs « oubliés » sont-ils également mis à jour régulièrement ?

Comptez le nombre de fois où vous pouvez répondre « oui ». Plus il y a de coches, plus votre entreprise est cybersécurisée. Y a-t-il encore des sujets de préoccupation ? Commencez à y travailler dès aujourd’hui, car chaque étape compte.


Conclusion : prenez des mesures pour renforcer la cybersécurité dès aujourd’hui

Les cybercriminels sont de plus en plus intelligents et les entreprises sont plus vulnérables que jamais. L’expérience montre que même une petite erreur ou une mise à jour oubliée peut avoir des conséquences majeures. Heureusement, la cybersécurité ne doit pas être un processus compliqué ou fastidieux. Même quelque chose d’aussi simple que numériser l’enregistrement des visiteurs peut faire une grande différence dans la sécurité de votre entreprise et la protection des informations sensibles.

N’attendez pas qu’un problème survienne. Faites le premier pas vers une entreprise cyber-sécurisée dès aujourd’hui. Commencez simplement : choisissez un élément de la liste de contrôle, abordez-le avec votre équipe et travaillez-y étape par étape. Vous gagnerez la confiance de vos clients et de vos partenaires… et vous dormirez mieux la nuit.

Vous vous demandez comment la gestion numérique des visiteurs peut vous aider à gérer une entreprise sûre et professionnelle ? Lancez un essai gratuit et voyez la différence. Vous avez des questions ou souhaitez des conseils personnalisés ? Discutez avec nous ou réservez une démonstration. Ensemble, nous rendrons votre espace d’accueil et votre entreprise plus cyber-sécurisés.

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